Akli, prince du désert





À PROPOS DES AUTEURS
Anne-Catherine De Boel
Illustratrice de Akli, prince du désert
Anne-Catherine De Boel est née en 1975 à Namur, en Belgique. Bien sûr, elle a étudié l'illustration à l'Institut Saint-Luc de Liège et conçu presque aussitôt son premier livre Rafara, mais ce qui compte surtout pour elle, c'est un certain goût de l'aventure et des pays lumineux. Ainsi, elle a réalisé les cartes et affiches d'un théâtre en Italie ! De retour en Belgique, elle rêve de l'Afrique qu'elle aime particulièrement pour sa palette de couleurs gorgées de soleil et de chaleur et imagine de nouvelles histoires où il se passe plein de choses. Ses techniques sont différentes selon le sujet, le papier et l'humeur, mais elle utilise principalement la gouache et l'acrylique.


NOS EXPERTS EN PARLENT...
ricochet

Anne-Catherine Boel, en compagnie de Carl Norac, nous plonge une nouvelle fois au cœur de l’Afrique, mais cette fois en plein désert. Ici, tout l’univers du conte y est rassemblé, entre atmosphère de sable et parcours initiatique. Akli, un jeune garçon intrépide, pour prouver à ses parents qu’il n’est plus un enfant, se lance un défi : traverser, en compagnie son fidèle chameau Azumar,…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Akli, prince du désert"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16281 ) [domains] => Array ( [0] => 9534 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Après le travail

Mario Ramos revient avec un nouveau livre où il met en scène des animaux et on est un peu déçu. La construction…

Sacrée Zoé

Et revoici l'un des illustrateurs que nous préférons en ce moment, Carll Cneut. Enfin, les éditeurs français s'intéressent à son travail et coup sur coup paraissent plusieurs de ces ouvrages. Sacrée Zoé avait été remarqué à la Foire du livre pour la jeunesse de Bologne, il y a deux ans. Il est aujourd'hui, grâce au travail de Circonflexe, disponible en français. L'histoire semble simple. Zoé réclame à cor et à cri une fête à son mari. Mais, comme une ritournelle, le mari de Zoé refuse, car la dernière fois, selon lui, les festivités se sont mal terminées. Des tonnes de crèmes ont été renversées, puis l'eau avait chassé la crème, puis la musique avait tout envahi, et ainsi de suite. Zoé aura enfin une idée, après toutes ces catastrophes. Elle propose à son mari de danser, de tournoyer jusqu'à plus soif, pour enfin ressentir les plaisirs de la fête. Une merveilleuse fête en somme. Ici Carll Cneut, par ses images colorées et débridées, rend à merveille ce subtil équilibre entre catastrophe et plaisir, entre refus et non-sens. Tout est ici jeu et danse, burlesque et dérisoire, comme dans les tableaux de James Ensor. Une lente procession pour arriver à ce plaisir presque parfait, celui d'être ensemble, celui de se retrouver et d'échanger. Le jeune illustrateur retrace, avec dérision, cette atmosphère si particulière des carnavals du Nord de l'Europe, où trompettes et déguisements s'en donnent à cœur joie. Si l'on peut regretter un manque de rigueur dans le rapport entre l'image et le texte, on ne retiendra cependant qu'une seule chose, un grand maître de l'illustration est en train de naître. Son nom, Carll…