Nicole Malinconi n’avait pas envisagé d’écrire un jour. Mais lorsque l’écriture s’est imposée à elle, à l’âge de trente-huit ans, plus jamais il n’a pu en être autrement. Et dans un geste admirable, programmatique, que l’on pourrait dire définitif s’il n’était inaugural, dans Hôpital silence, elle a déposé sa poétique à venir. Elle a commencé à l’écrire quand elle a perdu son emploi, le travail le plus important de sa vie jusqu’alors, le poste d’assistante sociale qu’elle occupait, depuis 1979, à la Maternité provinciale de Namur, au service du docteur Peers, un médecin humaniste tout entier dévoué à la cause des femmes.À la fermeture du service où l’on pratiquait à la fois des accouchements et des…
Guy Delhasse , à bien des égards, est un baroudeur des lettres belges francophones. On l’a, il s’est,…
Un hôpital qui s'écroule, un rapport d'expert qui se perd, une disparition inquiétante, des amours qui se nouent…