« Lester Godard n’était ni un dandy de droite, ni un esthète virtuose de gauche, ni un idiot utile ni un révolutionnaire clandestin, pas davantage un moraliste funèbre ou un Robinson mélancolique, c’était un franc-tireur, un non-aligné absolu. » Godard est surtout un écrivain à succès, ayant connu une inexpliquée (mais explicable) mise au placard éditoriale de dix-sept ans et partageant un appartement avec sa vieille chatte, Mademoiselle Chanel. Revenu sur le devant de la scène grâce à ses publications provoc’ (telles que Chronique de la béatification d’Adolf Hitler), ce lecteur assidu de la chronique « Disparitions » du Monde et amateur de vinyles porte un regard désabusé sur ses contemporains (souvent source de perles philosophiques et langagières…
1849-1889. Le comte Bonifacio Della Rocca fait la connaissance d’Asmodée Edern à Venise.…
« […] mes vacances n’ont pas encore réellement débuté qu’elles s’annoncent déjà…
«Depuis la révolution verte, les jouisseurs et les hédonistes sont emmenés, sous…