Parodie des évangiles. Un psychodrame dans un asile.
« La fête s’est emparée d’un asile, où le directeur et un psychiatre se laissent insidieusement manipuler par Méphisto. Satan revêt la robe du Christ, et tout bascule, certitudes et points de repère. Qui possède qui dans ce jeu de miroir où se contemplent l’Ange et la Bête ?
La « Passion » du diable nous invite dans une danse carnavalesque qui emprunte à Bosch et Ensor leurs couleurs et leur impertinence. Une interrogation audacieuse en forme de comédie sur le mal et les Evangiles. »
Minus et GibusOyez Bonnes Gens et Souvenez-vous en Il était une fois il y a vingt ansDans la verte forêt d'ArdenneAidé…
La part des flammes (Deux variations)
Avec La part des flammes. Deux variations , le dramaturge, le romancier…
Au fond d’une ruelle, trois laissés-pour-compte, sortes d’archétypes aux couleurs beckettiennes,…