Au Moyen-Age, un homme entreprend un voyage singulier et s’en va droit devant lui à la recherche de Dieu dont il veut prouver l’inexistence. Un écuyer l’accompagne. Munis chacun d’un araire, ils parcourent le monde en restant à égale distance l’un de l’autre, afin de tracer deux sillons strictement parallèles. Ils rencontreront Dieu lorsque ces parallèles se couperont, à moins qu’elles ne se rejoignent jamais. Les merveilles succèdent aux merveilles, comme dans les anciens récits de voyages, à ceci près qu’Alfred Jarry s’ajoute ici à Marco Polo.
Le concerto pour la main gauche
Bien des années après la Seconde Guerre mondiale, Gabriel et Tony se…