L’aventure est grande, dense, jules-vernienne : c’est un roman d’exploration où l’on course le diamant, le coltan, l’uranium, l’enfance, la filiation, l’amour. Il y a dans L’homme qui dépeuplait les collines un luxe d’humanité dont on se doute que la réalité est beaucoup plus dure sur place, au Congo, Sud-Kivu, en pleine jungle rongée par l’avidité des uns et la survie des autres.Bientôt, la vallée offrit au regard une multitude de petites alvéoles de boue, autant de bassins de décantation, guère plus grands qu’une baignoire, dans lesquels s’affairaient des taches rouge, bleu, jaune ou blanc, les couleurs des tee-shirts et chemises des enfants occupés à trier le minerai d’or dans leurs batées.La narration…
Un hôpital qui s'écroule, un rapport d'expert qui se perd, une disparition inquiétante, des amours qui se nouent…
Avec six romans à l’enseigne du « Noir corbeau », la collection éponyme des éditions Weyrich prend…