Marius, le peintre, est un éléphant très poli. « Veuillez accepter mes plus plates excuses, dit-il à Dame Coccinelle qu’il a failli écrabouiller. Puis-je vous inviter à prendre une tasse de thé ? » C’est ainsi que leur amitié se noue. Milady Coccinelle chante des airs d’opéra à Marius et Marius peint Lady Coccinelle. Et lorsque Coccinelle est prise au piège d’une toile d’araignée et que Marius est saisi par la fièvre, leur dévouement n’a pas de limite.
Son tableau (banane sur prairie) achevé, Marius le peintre rentre chez lui en sifflotant, quand tout à coup il aperçoit sous son pied une minuscule coccinelle affolée. Après s'être excusé, l'imposant pachyderme propose à Milady - c'est le nom de la rescapée - une bonne tasse de thé. Il apprend ainsi que son hôte est une diva d'opéra. La nuit suivante, Marius rêve de la bête à bon dieu…