« Dans le mot « seul » il y a quatre lettres, quatre définitions de la solitude. S comme solitaire c’est-à-dire seul par goût de la solitude . E comme esseulé, c’est-à-dire seul parce qu’abandonné des autres. U comme unique, seul de , son espèce, et enfin L comme libre c’est-à-dire seul à décider », écrit Michel Hannoun.
La vie moderne est marquée du sceau de la solitude. L’angoisse existentielle est palpable. Les malentendus, l’indifférence, le mensonge, la mort creusent…
(*)qu'importent nos motsils roulent pêle-mêledans le grondement des lamesvenues…
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…